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Escapade dans les pays baltes

25 juillet 2013

Fidèles à notre tradition de visite des pays de l’ancien bloc de l’Est, Louise et moi avons décidé d’effectuer cet été une tournée des pays baltes sans être trop certains à quoi nous attendre. Brussels Airlines proposant des vols bon marchés de Bruxelles à Vilnius, nous avons fait de la capitale lituanienne le point de départ de notre périple. De là, nous avons rejoint Tallinn par avion avec Air Baltic. Puis nous nous sommes rendus à Riga ainsi qu’à Klaipėda par la route avant de revenir à Vilnius pour reprendre notre vol de retour vers Bruxelles.

Dans mon idée, au cours d’un voyage dans les pays baltes, j’avais pensé que nous allions voir de nombreux "vestiges russes" et devoir faire face à une mentalité héritée des Soviétiques. En fait, nous constatons que c’est tout le contraire; l’Estonie, la Lettonie et la Lituanie vivent définitivement à la mode européenne. Ces trois pays sont d’ailleurs membres de l’Union Européenne et font partie de l’espace Schengen. De plus, l’Estonie est passée à l’Euro et, par voie de conséquence, nous a semblée un peu plus chère que les deux autres pays baltes. Dans les différentes villes que nous avons visitées, nous n’avons pas constaté de pauvreté criante, tout au plus quelques très rares mendiants. Même si les banlieues sont souvent peuplées par des familles modestes vivant dans des HLM ou dans des ensembles de petites maisons, il semblerait qu’il existe malgré tout une classe riche assez importante si j’en juge par le nombre de grosses bagnoles et de SUV d’origine allemandes circulant dans ces trois pays. Je n’ai jamais vu autant de Porsche en si peu de temps que durant ce voyage ! J’ai toutefois également noté deux Lada et un vieux camion russe au cours de la même période. L’Union Soviétique, c’est donc définitivement du passé révolu dans les pays baltes.

Néanmoins, la culture russe demeure malgré tout une réalité dans les trois pays. Très régulièrement, les affichages, annonces et autres publicités sont effectués dans la langue du pays et en cyrillique auxquelles viennent parfois s’ajouter l’anglais ou l’allemand. Par ailleurs, de nombreuses liaisons aériennes, ferroviaires ou routières relient les grandes villes baltes à Kaliningrad, Minsk, Moscou, Saint-Pétersbourg ou Varsovie.

Louise, ayant vu l’émission "Ports d’attache" au sujet de Riga, qui avait été tournée sous la pluie probablement durant l’automne dernier, était restée avec cette image de contrées à la météo maussade. Nous avons donc pris avec nous des imperméables en conséquence ainsi qu’un parapluie, mais, tout compte fait, nous n’avons eu à subir qu’un seul orage durant un après-midi à Vilnius. Tout le reste du voyage s’est déroulé avec une météo digne de destinations situées beaucoup plus au sud.

Au cours des voyages précédents, nous avions privilégié les déplacements en trains, mais pour ce trajet-ci, vouloir effectuer le circuit décrit au début de cet article avec les chemins de fer des pays baltes aurait relevé du parcours du combattant. Nous avons donc opté pour des transferts en autocars car l’offre de service est des meilleures qui soient. Au terme de notre expérience, nous pouvons confirmer ceci avec des trajets effectués dans des conditions très confortables en véhicules Neoplan et Scania, ou confortables, sans plus, en Setra et DAF, parfois un peu désuets. Définitivement, l’autocar est le meilleur moyen de se déplacer à prix modique dans les trois pays baltes.

Pour terminer, Messieurs, sachez que lorsque vous vous promenez tant en Estonie, en Lettonie, qu’en Lituanie, vous croiserez un nombre très important de jolies filles !

Photos : Estonie - Lettonie - Lituanie.

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Une fin de semaine en Outaouais

6 juin 2013

 

De ces jours-ci, nous pouvons voir à la télévision une publicité pour l’Outaouais où une famille se fait arrêter par un policier incrédule à l’idée d’aller passer des vacances dans cette région. Et bien, bravant cette "autorité policière", nous nous sommes rendus la fin de semaine dernière à Ottawa et Gatineau malgré des prévisions météorologiques plus qu’incertaines. Une fois notre voiture et nos affaires laissées à notre hôtel à Gatineau (anciennement Hull), nous partons à pied nous balader au centre-ville d’Ottawa où nous bénéficions de très larges éclaircies qui me permettent de prendre une série de photos intéressantes de différents aspects de la ville. C’est aussi pour moi, et assez curieusement, la première fois que je photographie Ottawa en numérique au sec. Toutefois, en fin d’après-midi, les éléments commencent à se déchaîner à un moment où, fort heureusement, nous sommes quasi arrivés en vue de l’hôtel. Le lendemain matin, les conditions atmosphériques ne se sont pas améliorées. C’est donc sous la pluie que nous empruntons la petite route qui nous mène à Chelsea et Wakefield, un trajet que j’avais effectué il y a quelques années à bord d’un train touristique à vapeur qui, malheureusement, ne circule plus actuellement. Nous nous arrêtons brièvement au pont couvert de Wakefield avant de reprendre notre chemin en passant par la vallée Edelweiss, qui par moments rappelle le Jura, le lac McGregor et Perkins. Nous rejoignons ensuite la route 50 qui nous permet de prendre la direction de Lachute, puis de Montréal.

Photos : Ottawa- Wakefield.

Photos un peu plus anciennes : Hull - Musée de l'agriculture - Musée de l'aviation et de l'espace - Musée de la guerre - Train Hull-Chelsea-Wakefield.

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Souvenirs de Fort Worth

26 mai 2013

 

Lors d’un voyage d’affaires au Texas en 2006, nous avons eu l’occasion de nous rendre dans l’ancienne ville de Fort Worth et ses Stockyards. Chaque jour, pour le marché au bétail, des vaches à longues cornes déambulent dans les rues de la ville encadrées par des cow-boys à cheval. J’ai donc capté à la sauvette quelques scènes de cette tradition typiquement "western". Nous avons également visité quelques boutiques et, notamment, un magasin vendant des articles permettant de rendre n’importe quel cow-boy heureux. Il y avait, parmi selles et autres accessoires nécessaires pour monter dignement à cheval, deux immenses étalages de bottes dont le prix de certaines pouvait atteindre plusieurs milliers de dollars ! Voici donc quelques photos prises à cette occasion et que je diffuse pour la première fois :

Photos de Fort Worth.

Information précédente au sujet du Texas.


Le printemps est-il arrivé ?

17 avril 2013

 

Le croassement de milliers de grenouilles dans les étangs marécageux, des bruants chantant à tue-tête, des hirondelles virevoltant dans les airs, des couleuvres se prélassant dans des feuilles jaunies par l’automne et l’hiver ainsi qu’un magnifique papillon venant se poser à mes pieds sont autant d’indices que j’ai pu apercevoir ce matin dans le Parc régional Michel Chartrand et qui me permettent d’affirmer que le printemps est vraiment là pour de bon ! C’est vrai que les soubresauts de l’hiver que nous avons connus ces derniers jours nous laissaient un rien dubitatifs, mais les températures plus clémentes qui sont annoncées devraient vite nous permettre de ranger les averses de neige et le froid au rayon des souvenirs.

Photos prises au Parc régional.

Information précédente au sujet du Parc régional.


Le dernier train - 归途列车

11 avril 2013

 

Photo : TV5

Enregistré dimanche dernier sur TV5, Louise et moi avons regardé hier ce film documentaire qui utilise comme trame de fond la grande migration chaotique de la Fête du printemps en Chine pour montrer les déchirements auxquels est confrontée la famille Zhang, écartelée entre la vie dans les campagnes et l’emploi en ville. Entre ces deux mondes, en effet, il y a souvent des milliers de kilomètres que des millions de Chinois parcourent chaque année au moment du Nouvel an afin de réunir leur famille ne fut ce que pour quelques jours. Les images de ce film sont techniquement de toute beauté. Le dosage de la lumière est remarquable et j’ai admiré le choix des plans que l’on pourrait croire uniquement réservé à des films de fiction. Or ici, il s’agit de la réalité, souvent froide et crue, parfois violente, que le réalisateur Lixin Fan a réussi à capter de façon magistrale. Absorbé par le sort de la famille Zhang, le film se termine un peu abruptement car il s’agit juste d’une tranche de vie tournée entre 2006 et 2008. Mais vous vous poserez très certainement la même question que nous : "qu’est devenue la fille Qin à Shenzhen ?" Dieu seul le sait …

Description du documentaire.

Prix Génie du meilleur documentaire.

Commentaires sur le blogue "Si Mao savait ..."


Pérou : royaumes du soleil et de la lune

8 avril 2013

 

Mercredi dernier, Louise et moi avons visité l’exposition dédiée au Pérou au Musée des beaux-arts de Montréal. Celle-ci regroupe de magnifiques objets et œuvres d’art datant tant de l’époque précolombienne que de l’ère coloniale ainsi que de l’indigénisme péruvien. Ils sont issus de différentes collections établies, pour la plupart, au Pérou, mais aussi au Canada, aux États-Unis et en Europe. Même si nous ne sommes pas des experts en la matière, nous avons beaucoup apprécié cette initiative qui nous donne maintenant l’envie d’en connaître plus ainsi que de visiter le Pérou. Mais ce qui nous a marqué le plus, c’est le "choc culturel" entre les œuvres de l’époque précolombienne et celles datant de la colonisation. C’est là que nous pouvons constater les "bienfaits" de notre civilisation chrétienne sur toutes les autres croyances ! À visiter, donc, sans la moindre hésitation.

Pérou : royaumes du soleil et de la lune.


Les drones d'Obama

23 mars 2013

 

Image : auteur inconnu

Hier, l’émission de Radio-Canada "Une heure sur terre" portait sur l’utilisation de drones par l’armée américaine et la CIA pour "éliminer" des personnes bien ciblées dans des pays étrangers tels que l’Afghanistan, le Pakistan ou le Yémen. Malheureusement, le reportage ne présentait qu’une facette du problème, celle-ci pouvant être interprétée comme "les méchants Américains" tirant sur des cibles innocentes en dehors de toute convention internationale. Même si je ne m’estime pas pro-américain (je ne suis pas non plus anti-américain), je pense malgré tout que le reportage a manqué cruellement d’objectivité comme c’est parfois le cas dans cette émission. En effet, après avoir vu le reportage, on ne serait pas loin de considérer les terroristes d’Al-Qaïda comme une bande de boy-scouts se faisant mitrailler par les vils drones d’Obama. Or, les journalistes de Radio-Canada, Marie-Ève Bédard et Jean-François Lépine, s'ils mentionnent bien que ce type d’interventions militaires s’effectue en dehors de toute convention internationale, ils oublient tout simplement de spécifier que les terroristes agissent eux aussi en dehors du droit international et au mépris du simple respect de la vie humaine. Ils représentent, de plus, une menace pour l’humanité toute entière qu’il est nécessaire de contrer. Maintenant, comment y parvenir ? Les drones sont-ils vraiment la meilleure option en sachant qu’il existe de nombreux "dégâts et morts collatéraux" ? Je ne m’aventurerais pas dans ce débat. Par contre, pour vous donner une idée de la façon dont les drones sont télécommandés à partir des États-Unis, je vous suggère de voir la séquence vidéo ci-dessous. Dans le reportage d’hier, un pilote de drone de la U.S. Air Force était interrogé et il avouait très sincèrement qu’il préférait piloter un de ces avions télécommandés plutôt qu’aller au casse-pipe loin de sa famille à bord d’un A-10 ou d’un F-16. Une vie sans risque, donc. On arrive le matin à 8h00 à la base, on tue quelques personnes à distance sans aucune émotion par écrans vidéo interposés et on rentre chez soi à 17h00 pour jouer avec ses enfants avant le repas du soir. Moi, c’est plutôt cet aspect-là qui me donne froid dans le dos.

Reportage "la nouvelle guerre d'Obama".

 


Mes balades au Parc régional

20 mars 2013

 

Depuis notre retour de Panama, j’ai repris mes balades hebdomadaires au Parc régional Michel Chartrand, "le petit paradis de Longueuil", comme j’aime le nommer. Bien entendu les cerfs de Virginie demeurent les "pièces maîtresses" à voir (il y a quelques semaines, j’en ai compté 23 durant ma promenade !), mais j’ai aussi pu observer des pics, des grands pics et, furtivement, un renard ceci sans compter les écureuils, les mésanges et les sitelles plus communs. Le printemps arrivant bientôt (nous avons encore reçu 20 cm de neige hier …), d’autres oiseaux et animaux devraient réapparaître sous peu pour mon plus grand bonheur de photographe. N’hésitez donc pas à visiter régulièrement la galerie de photos consacrée au Parc régional afin de bénéficier virtuellement des beautés offertes par ce très bel espace vert de la Rive Sud de Montréal !

Photos du Parc régional : 2013 - 2012 - 2011 - 2010.

Information précédente au sujet du Parc régional.


La faune et la flore au Panama

20 février 2013

 

8 au 15 janvier 2013. Si la principale marque de commerce touristique du Costa Rica est la faune et la flore, le Panama étant immédiatement voisin, ce dernier bénéficie également des mêmes forêts luxuriantes ainsi que d’une toute aussi intéressante variété d’animaux. L’armée américaine, ayant compris ceci lors de sa présence au Panama, en avait, d’ailleurs, fait une terre d’entraînement pour ceux qui partaient à l’époque au Vietnam. Pour ma part, mes intentions étaient moins guerrières puisque c’est seulement armé de mon Nikon que j’ai profité un tant soit peu de la faune et la flore panaméenne. Si la première étape du voyage à Farallon ne m’a permis de photographier que quelques variétés d’oiseaux et trois iguanes, la seconde à Gamboa était beaucoup plus intéressante car le site est situé pratiquement en pleine nature. C’est à cet endroit que j’ai ainsi fait la découverte de deux animaux qui m’étaient totalement inconnus. Tout d’abord, il y avait ce que j’avais décrit comme un croisement entre une marmotte et un hippopotame, mais qui a la taille d’un petit cochon; j’ai appris qu’il s’agissait d’un capybara. Ensuite, il y avait une espèce d’écureuil sans queue qui s’appelle agouti et qui se dissimule souvent dans les sous-bois où il est très difficile à photographier. À Gamboa, j’ai d’ailleurs été très vite confronté aux limitations techniques de mon 80-400mm, pas assez lumineux et souvent un peu trop court en focale pour cadrer correctement les oiseaux ou les petits animaux. J’ai donc ainsi manqué plusieurs photos. Vous verrez aussi que certaines images ont été exploitées au maximum de ce que Photoshop me permettait d’en tirer à mon stade de connaissance de ce logiciel. À l’hôtel Gamboa Rainforest Resort, nous avons pu voir un photographe professionnel qui séjournait là durant trois mois uniquement pour prendre des clichés d’animaux. Évidemment, son équipement était adapté; il disposait d’une énorme lentille dont j’ai oublié la focale, mais retenu son prix : 15000 $ ! Il n’y a aucune comparaison possible avec mon petit matériel d’amateur … Mais, malgré tout, il reste toujours le plaisir de pouvoir s’aventurer un peu en forêt et d’admirer une faune et une flore exotiques. Nul doute que si je retourne un jour au Panama, je passerai beaucoup plus de temps dans la nature pour en contempler ses nombreuses merveilles.

Photos de la faune et de la flore au Panama.


Gamboa

19 février 2013

 

13 au 15 janvier 2013. Là où la rivière Chagres se jette dans le lac Gatún se trouve Gamboa. Ce village se situe aussi à proximité d’un parc national et d’une zone naturelle protégée. Le Gamboa Rainforest Resort où nous avons résidé une journée et demie est donc construit quasi en pleine nature. Assez chic, le site est principalement fréquenté par des canadiens anglophones très polis et toujours propres sur eux. L’endroit est vraiment calme et reposant et, malheureusement, du fait de notre trop bref séjour, nous n’avons pas pu profiter de toutes les possibilités offertes dans les environs immédiats, notamment le téléphérique permettant d’accéder à un sommet d’où l’on peut contempler le lac Gatún avec une vue "imprenable". Par contre, deux fois par jour, une camionnette aménagée en petit bus ouvert style "safari" amène gratuitement les clients de l’hôtel pour une balade dans le parc avoisinant. Lors de la visite diurne, nous sommes deux couples : deux personnes venant d’Afrique du Sud et nous. Notre guide panaméen, remarquant que nous conversons dans la langue de Molière, nous demande notre origine. Pour la suite de la visite, il nous parlera dès lors dans un français impeccable avec un solide accent québécois; il avait en fait résidé à Brossard et étudié au Collège français de Longueuil avant de devenir un spécialiste de la survie en forêt tropicale ! Il nous fera d’ailleurs goûter à de la termite qui, selon lui (et seulement selon lui !), rappelle le "beurre de pinottes". Aimant bavarder avec nous quatre, il prolonge la visite pour aller voir un peu plus loin dans la forêt quelques singes capucins qui jouent d’adresse dans les cimes de grands arbres. En chemin, il nous montre différents aspects de la végétation ainsi que plusieurs petits animaux plus difficiles à voir pour un œil inexpérimenté. Bref, mis à part un buffet un peu minimaliste, surtout comparé à celui du Royal Decameron, nous avons beaucoup apprécié notre séjour à Gamboa. Il est certain que si, un jour, j’ai la possibilité de retourner au Panama, je reviendrai au Rainforest Resort, mais pour un plus long séjour.

Photos de Gamboa.


Une belle plage sur l’océan Pacifique à Farallon

18 février 2013

 

8 au 13 janvier 2013. Notre séjour au Panama débute par cinq jours à Farallon, petit village situé à environ 140 Km de la capitale. Nous résidons au "Royal Decameron Golf Resort & Villas" qui a été construit sur le site d’une ancienne base militaire américaine jouxtant l’aérodrome de Río Hato dont je parle sur mon blogue aéronautique. Bien que le complexe soit fort fréquenté, il est malgré tout très calme ce qui en fait une éventuelle destination familiale intéressante. La plage est très belle, mais il me semble qu’il manque de parasols et de chaises longues pour accueillir tous les résidents désireux de profiter du Pacifique. La mer est chaude et sablonneuse, ce qui fait qu’il n’est pas possible de voir d’éventuels poissons ou de fonds marins intéressants. Le site en lui-même est propre et bien aménagé avec plusieurs grandes piscines. Quant aux buffets et à la majorité des restaurants, il faudrait être difficile pour avoir quelque chose à y redire.

Photos de Farallon.

Commentaires au sujet de l'aéroport de Río Hato sur le blogue aéronautique.


De Colón à Panama City en train

7 février 2013

 

11 janvier 2013. Lors de la préparation de notre voyage à Panama, Louise a tout de suite noté l’existence d’un trajet touristique en train le long du canal et du lac Gatún. Une fois arrivés sur place, nous avons immédiatement réservé cette excursion à l’agence de notre hôtel. Le départ du train a lieu à la gare de passagers de l’Atlantique situé à Colón, une ville fondée à l’époque grâce à la ligne de chemin de fer. Ce dernier, en effet, existe depuis la moitié du 19e Siècle et, après avoir frôlé l’abandon, a été remis sur les rails (c’est le cas de le dire !) à partir de 1998. Je vous conseille, d’ailleurs, de lire son historique très intéressant repris sur le site officiel de la Panama Canal Railway Company. Le train est constitué de cinq voitures BUDD et d’une voiture panoramique, cette dernière datant de 1938 et provenant du Southern Pacific. Une locomotive EMD F40PH, ayant roulé dans le passé pour Amtrak, se trouve à chaque extrémité et évite ainsi d’avoir recours à une boucle de retournement aux deux gares terminus; celles affectées à notre train sont baptisées "Ciudad de Balboa" et "Ciudad de Coco Solo". Nous embarquons à bord et notre guide nous dirige vers la voiture panoramique où il fait asseoir tout notre groupe en demandant même à des personnes entrées avant nous d’évacuer les lieux et de se trouver une place dans un des autres wagons. Quelquefois, faire partie d’un "troupeau de touristes" a du bon ! Nous effectuons donc le trajet depuis notre position de privilégiés et c’est dans le meilleur des conforts offerts à bord de ce train que nous pouvons admirer le canal et le lac Gatún sous une lumière de fin d’après-midi. Le jour vient de tomber au moment où nous entrons en gare de Corozal, un autre des nombreux vestiges de la présence des forces américaines dans la région de Panama City. C’est ainsi que se clôture ce trajet unique qui demeurera pour Louise et pour moi un excellent souvenir ferroviaire.

Photos de notre trajet en train.

Site officiel de la Panama Canal Railway Company.

Commentaires sur le forum Marlin-users.net.


Les écluses du canal de Panama

4 février 2013

 

10 et 11 janvier 2013. Notre séjour au Panama ne pouvait pas passer, bien entendu, à côté d’une visite au célèbre canal. En fait nous en ferons même deux puisque nous irons voir les écluses de Miraflores un jour et celles de Gatún le lendemain. En chemin, de loin et lors d’une excursion, nous verrons aussi celle de Pedro Miguel. Évidemment, le spectacle des passages des navires était à la hauteur de nos attentes. Environ quarante bateaux naviguent ainsi quotidiennement de l’Atlantique au Pacifique ou le contraire, ce qui représente approximativement 14000 mouvements par année. Sachant que chaque traversée est payée de 200000 à 400000 dollars "cash" selon la catégorie de navire, il est compréhensible que le canal soit la principale source de revenus du Panama. Parallèlement aux écluses actuelles, de gros chantiers pharaoniques sont actuellement en cours en vue d’en construire de nouvelles beaucoup plus larges qui permettront le passage de navires encore plus gros. Si tout va bien, elles devraient être inaugurées l’an prochain afin de coïncider avec le centième anniversaire du canal. Elles auront la particularité de recycler une partie de l’eau nécessaire au transfert des bateaux grâce à la construction de bassins spéciaux et éviteront ainsi de trop épuiser les ressources du lac Gatún. Un des éléments intéressants des écluses du canal de Panama est l’utilisation de locomotives spéciales, appelées "mules", qui circulent sur un rail à crémaillère pour tirer et guider les navires avec précision dans les différents bassins. Celles-ci, pesant 55 tonnes, ont été fabriquées par Mitsubishi au coût moyen de deux millions de dollars l’unité. Leur va-et-vient continuel sur les berges des écluses est un spectacle à lui tout seul !

Photos du canal de Panama.

Commentaires sur le forum Marlin-users.net.


Portobelo

31 janvier 2013

 

11 janvier 2013. La baie de Portobelo baignant dans la mer des Caraïbes a vu arriver Christophe Colomb lors de son quatrième voyage le 2 novembre 1502. Par la suite, cette ville est devenue un port important à l’époque coloniale espagnole. C’est par Portobelo, en effet, que transitait notamment de l’or venant d’Amérique du Sud et envoyé en Europe. Ceci suscita l’intérêt de quelques pirates et corsaires de renom, ce qui "anima" la ville durant quelques années. Actuellement, on ne compte plus qu’environ 3000 habitants à Portobelo, les activités portuaires commerciales ayant migrées vers Colón. Il reste, toutefois, de magnifiques vestiges de l’époque coloniale qui sont désormais classés. J’ai beaucoup aimé ma visite à Portobelo car, outre les anciens bâtiments et fortifications, elle m’a permis de voir le Panama rural, modeste, mais accueillant. Par ailleurs, non loin de Portobelo, je me suis délecté d’un poisson grillé qui restera gravé dans ma mémoire comme un des meilleurs auquel j’ai pu goûter dans ma vie.

Photos de Portobelo.


Los Diablos Rojos

30 janvier 2013

 

Les Diables rouges sont une des attractions pour le touriste visitant Panama. Il s’agit, en fait, de bus scolaires recyclés qui assurent le transport collectif entre les villes et les villages de campagne. Ces véhicules, dont certains tiennent parfois par la peur, sont souvent décorés de façon originale et bariolés par leur propriétaire. Certains y ajoutent des accessoires chromés dont le minimum consiste en deux longues cheminées fixées à l’arrière qui font office d’extensions aux pots d’échappement. Les pare-soleil hauts en couleurs placés sur les pare-brises obstruent souvent plus de la moitié du champ de vision des chauffeurs, mais fort heureusement il en reste malgré tout un petit bout transparent pour la conduite ! Le soir, certains de ces bus s’illuminent de toute sortes d’éclairages du néon à la guirlande de Noël en donnant un cachet tout particulier aux véhicules. Le nom de "Diables rouges" vient du fait qu’à l’origine tous ces bus étaient rouges. Quant aux "Diables", il exprime simplement la façon dont les Panaméens jugent la conduite de leurs chauffeurs ! Actuellement, à Panama City, des bus modernes, semblables à ceux que l’on peut voir dans d’autres grandes villes du monde, ont remplacé les Diablos Rojos. Il semblerait, toutefois, aux dires de la population locale, que le changement de véhicules n’a fait perdre en rien aux chauffeurs leur habileté particulière à la conduite ! Quant au confort, vous avez juste à vous souvenir de vos transports lorsque vous étiez gamins et à les imaginer bondés et surchauffés par une température extérieure atteignant régulièrement plus de 40°C. Bon voyage !

Photos de quelques bus.

Article intéressant sur le blogue "Saga Panamá".


Copies d’objets traditionnels panaméens

27 janvier 2013

10 janvier 2013. Lors de notre visite de Panama City, nous avons été voir l’entreprise Reprosa spécialisée dans la copie d’objets faisant partie du patrimoine du pays. L’idée est loin d’être inintéressante car elle permet d’éviter le pillage systématique des richesses patrimoniales de Panama comme, par exemple, des ornements en or datant de l’époque précolombienne. Actuellement les pièces originales demeurent dans les musées et ces derniers touchent des redevances pour chaque copie produite.

Photos prises chez Reprosa.


Panama City

27 janvier 2013

 

10 janvier 2013. La capitale du Panama présente certaines similitudes avec Montréal : un réseau autoroutier développé de façon anarchique et de très nombreux chantiers. Ce qui fait qu’y circuler demande de la patience à toute heure du jour … Mais Panama City, c’est aussi une ville de contrastes. Tout d’abord, d’un point de vue architectural, on pourrait définir quatre catégories d’aspects très distincts de la ville. La première, Panamá Viejo, est ce qui reste aujourd'hui de la vieille cité qui avait été fondée le 15 août 1519 par le conquistador Pedro Arias Dávila. Ces ruines, dont l’élément le plus important est la tour de la cathédrale, font désormais partie du patrimoine mondial de l’UNESCO. Il y a ensuite le magnifique quartier colonial du centre historique de la ville, le Casco Viejo, dont une majorité de beaux édifices sont souvent occupés par une population à revenus modestes et se trouvent régulièrement dans un état de délabrement. Dans le cadre des grands chantiers entrepris à Panama, ces immeubles sont actuellement pour la plupart en réfection après que leurs occupants se soient faits "offrir" la possibilité d’aller vivre ailleurs. L’idée est de faire de ce quartier une vitrine "propre" que l’on pourra montrer sans petite gène aux nombreuses futures cohortes de touristes. C’est dans ce quartier aussi que l’on trouve la très belle Catedral Metropolitana située sur la Piaza de la Independencia ainsi que les ruines du couvent des Jésuites. La troisième catégorie d’aspects de la ville est la partie moderne dont les immenses gratte-ciels affichent bon nombre de bannières internationales respectables. C’est le Panama des affaires. Enfin, la quatrième catégorie consiste en des immeubles insalubres et pauvres ainsi que certains bidonvilles que l’on peut apercevoir à partir des bretelles des voies rapides traversant la capitale. Ceci illustre, à mon avis, le principal contraste de Panama City : le monde des riches face au monde des pauvres avec une classe moyenne qui n’apparaît pas et qui est, de fait, quasi inexistante comme le confirmait notre guide.

Colón.

11 janvier 2013. Si je vous mentionnais le fossé entre les mondes des riches et des pauvres à Panama City, à Colón, ville portuaire située au nord à l'embouchure du canal, le contraste est encore plus marquant. D’un côté de la ville, près de la gare, nous avons vu des quartiers composés nombreux immeubles insalubres où des enfants jouaient dans des rues sales et encombrées d’immondices. Ceci s’explique notamment par un taux de chômage local de l’ordre de 40% ! Mais non loin de là, nous avons aussi vu les immenses entrepôts et bâtiments pimpants de la seconde zone de libre-échange au monde après celle d’Hong-Kong. De quoi nous interpeller en tant que voyageurs privilégiés !

Photos : Panama City - Colón.

Site au sujet du Casco Viejo de Panama.

Site de la zone de libre échange de Colón.


Une semaine au Panama

26 janvier 2013

Quand on parle de Panama, on pense directement au célèbre canal qui permet aux navires de rejoindre l’océan Pacifique à partir de l’Atlantique ou le contraire. Panama, c’est aussi un chapeau, mais dont l’origine se trouve en Équateur ! Mais ce que la majorité des gens ignorent, c’est que Panama c’est également une faune et une flore des plus intéressantes assez semblables à celles qui ont fait la réputation du Costa Rica, pays immédiatement voisin.

"Y a-t-il des Américains parmi nous aujourd’hui ?" demande notre guide alors que notre autobus d’origine coréenne se met en route pour une excursion. La réponse étant négative, il continue : "alors, on va pouvoir dire toutes les vraies choses !" Cette attitude en dit long sur les relations entre les Panaméens et les Américains des États-Unis. Pour comprendre, remontons un peu dans l’histoire. À l’origine, Panama faisait partie de la Colombie et a vu défiler conquérants Espagnols et pirates de tout poil. En 1881, les Français entreprennent la construction du canal, mais se plantent lamentablement et revendent leur projet aux Américains pour la somme de 40000$. En 1903, un groupe soutenus par les États-Unis déclarent l’indépendance du pays. En 1914, le canal est inauguré et devient un intérêt à la fois économique et stratégique pour l’Oncle Sam. Depuis lors, les Panaméens ont vu défiler bon nombre de militaires US sur leur territoire et ont eu l’impression de vivre dans un pays occupé. En 1978, un accord intervient entre les présidents Omar Torrijos et Jimmy Carter pour que les Panaméens puissent progressivement prendre possession et le contrôle de la zone du canal en 1999. Mais, entre-temps, un certain Manuel Noriega, ancien membre de la CIA, surnommé "face d’ananas" et dictateur de son état, prend le pouvoir de force et commence à narguer les Américains tout en jouant dans le trafic de drogue. Ceci provoque l’ire du père Bush qui envoie ses troupes en 1989 faire la morale aux Panaméens sous le nom évocateur d’opération "Juste cause". Le calme revenu, les militaires américains restent malgré tout présents en nombre et tout le monde sait comme ils ont le don de se faire aimer en dehors de leurs pays. C’est finalement en 2000 qu’ils rentrent définitivement chez eux avec armes et bagages en laissant à la population panaméenne un souvenir impérissable de leur séjour. D’où la remarque de notre guide … Pour achever ce chapitre "militaire", sachez aussi que le Panama, tout comme le Costa Rica, n’a pas d’armée, mais une multitude de forces de polices à ne plus s’y retrouver !

J’ai aussi entendu un de nos guides dire que Panama souhaitait devenir la Suisse des Amériques … Mais pour devenir "la Suisse de quelque part", il ne faut pas uniquement avoir de belles cités dont les édifices modernes portent les enseignes de grandes institutions financières internationales; la propreté doit aussi être de mise ! Or, il se fait qu’en dehors des grands sites hôteliers et des quartiers chics ou d’affaires, Panama est loin d’être un modèle du genre. J’ai aussi l’impression qu’au plus nous allons dans le nord du pays, au plus la situation empire. Il en va de même avec le niveau de pauvreté. Si Panama désire attirer un plus grand nombre de visiteurs, des mesures sérieuses vont devoir être prises à grandeur du pays. Actuellement, semblerait-il, on a débuté par une campagne de sensibilisation dans les écoles, mais il reste encore beaucoup de chemin à parcourir. Notez que lorsque je vois certains endroits à Bruxelles ou à Montréal, nous n’avons pas vraiment de leçon à donner !

Depuis qu’elle a appris l’existence du Canal de Panama à l’école lorsqu’elle était enfant, Louise s’était jurée d’un jour aller le visiter. L’occasion est venue en ce mois de janvier 2013 lorsque nous avons choisi pour la quatrième fois une formule "tout compris". Notre forfait comprenait cinq nuits à Farallon sur une belle plage du Pacifique et deux nuits à Gamboa, quasi dans une réserve naturelle localisée à proximité du lac Gatún lui-même situé sur le parcours des navires empruntant les écluses du canal. Nous avons beaucoup aimé notre séjour et les excursions que nous avons effectuées, même si être dans un "troupeau de touristes" ne laisse pas toujours toutes les libertés désirées. Mais le rapport qualité-prix y était et vouloir organiser un voyage semblable au nôtre par ses propres moyens n’aurait certainement pas coûté beaucoup moins cher et aurait définitivement pris beaucoup plus de temps, surtout dans les transports locaux. Par ailleurs, les possibilités de découvertes qu’offre Panama étant très nombreuses, je pense que notre voyage était un peu trop court et qu’une seconde semaine sur place aurait pu être facilement occupée. Une bonne raison d’y revenir un jour, non ?

Pour terminer cette petite introduction au sujet de Panama, sachez que vous pourrez y trouver trois marques principales de bières locales, mais seulement la Balboa peut se qualifier du nom de ce breuvage !

Toutes les photos du Panama.

Un blogue à voir absolument : "Saga Panamá".


Un "sapin" controversé

29 décembre 2012

 

Depuis quelques semaines, une espèce d’échafaudage érigé en forme de sapin sur la magnifique Grand-Place de Bruxelles n’arrête pas de défrayer la chronique dans les médias belges. Cet "édifice temporaire" a, en effet, remplacé cette année le grand sapin de Noël traditionnel jusqu’à ce samedi 29 décembre, moment de son démontage au grand soulagement d’une majorité de Bruxellois. En effet, depuis son installation au début du mois de décembre, cette "chose" a révélé une crise d’identité nationale en Belgique qui a mobilisé un large panel de citoyens s’affichant de l’extrême droite aux gauchistes les plus convaincus. Certains y ont même vu une façon de faire afin de ne pas choquer les différentes communautés religieuses du royaume … Personnellement, cette "œuvre" d’artistes français, qui aura coûté malgré tout 44 000 € à la ville, était totalement insipide. Vu qu’on en avait tant parlé, j’ai été la contempler hier avant son enlèvement et je puis vous assurer qu’elle était encore plus laide en nature que sur les photos ! D’après un communiqué d’une responsable de la ville de Bruxelles, "malgré un certain succès (!)", l’an prochain, on devrait revenir au sapin naturel traditionnel. Ouf ! Ma visite au centre-ville de la capitale nationale avait aussi pour objectif d’essayer mon nouvel appareil photo, un petit Lumix ZS15 acheté dimanche dernier à Montréal, et je dois dire qu’il ne m’a pas déçu. J’ai donc effectué une petite balade qui m’a mené du Parc Royal à la Place Sainte-Catherine où se tient le marché de Noël intégré dans l’événement annuel des Plaisirs d’Hiver. Un certain Monsieur Therrien y tient, d’ailleurs, une échoppe vendant des produits du terroir Québécois et du Canada ! Vous pourrez trouver quelques photos de mon itinérance bruxelloise d’hier en cliquant sur les liens ci-après.

Photos prises à Bruxelles : Noël/Nouvel-An 2012/2013 - Photos de la ville - Culture et traditions.

Autres photos de Bruxelles : Noël/Nouvel-An 2010/2011 - Noël/Nouvel-An 2005/2006 - STIB.

Communiqué de la Ville de Bruxelles.

Différents articles : La Libre - Le Soir - RTL - Les InRocks.

Information précédente au sujet de Bruxelles.


Meilleurs vœux pour 2013 !

16 décembre 2012

Louise et moi prenons un peu les devants en vous souhaitant tout ce qu’il y a de mieux pour l’année 2013 car on ne sait jamais si la fin du monde n’aura pas lieu d’ici là ! L’image principale représente les pitons volcaniques photographiés près de Soufrière à Sainte-Lucie, un de nos voyages mémorables de l’année écoulée. Louise, quant à elle, est immortalisée à Venise et, pour ma part, la photo est prise au terme d’un magnifique vol en double-commande sur le Lama de la compagnie Heli-Rezia en Suisse (encore un tout grand merci à Renato !). Et puis il y a la photo du minou … Une chatte noire qui depuis cet été nous gratifie de visites régulières et qui, maintenant, les grands froids étant arrivés, a tout simplement élu domicile chez nous ! Un joyeux Noël et une excellente année 2013 empreinte de joies et de bonheur à toutes et tous !

Information précédente au sujet de Sainte-Lucie.

Information précédente au sujet de Venise.

Vol à bord du Lama d'Heli-Rezia.

Photo originale des pitons volcaniques à Sainte-Lucie.


Train de Noël 2012

9 décembre 2012

 

Cette année, nous renouons avec la tradition du train de Noël en profitant du début de la construction de notre réseau permanent Märklin HO nord américain dans notre sous-sol. Des voies temporaires ont été placées afin que le réseau puisse fonctionner pour l’occasion et nous avons sorti tout notre matériel roulant américain adapté à la circulation sur le système AC "trois-rails". Hier, c’était la fête des trains avec nos amis habituels à deux exceptions près. Tout d’abord, notre ami Jean-Pierre ne pouvait être présent car il devait subir une chirurgie le lendemain. Ensuite nous avons eu la première visite de Mark Venema, artiste montréalais également amateur de trains et membre du forum Märklin-Users.net auquel je participe autant que faire se peut. Ce dernier est venu avec une locomotive et deux wagons que nous avons essayés sur le réseau et il a semblé fort intéressé par les différentes locomotives et wagons américains que j’ai convertis au système Märklin AC. Comme d’accoutumée, Louise aidée de sa sœur Monique nous ont cuisiné un magnifique buffet. Quant au gâteau, préparé avec soin depuis plusieurs jours par Louise, il était tout à fait exceptionnel et évoquait la Morant’s Curve en Alberta. Le goût était d’ailleurs à la hauteur de la scène représentée !

Photos de notre réseau Märklin HO.

Photos de la Fête des trains 2012.

Photos des éditions précédentes : 2010 - 2009 - 2008 - 2007 - 2006 - 2005 - 2004.

Commentaires sur le forum Märklin-Users.net.


André-Philippe Gagnon est un réseau social

7 décembre 2012

 

Image : www.andrephilippegagnon.com

Durant les années nonante, alors que je vivais encore en Belgique, j’avais eu l’occasion de voir quelques-uns des spectacles du célèbre imitateur québécois à la télévision et immédiatement, son talent m’avait impressionné. Une bonne quinzaine d’années plus tard, c’est-à-dire hier, j’ai enfin eu l’occasion de l’admirer sur scène au Théâtre Maisonneuve à Montréal pour son spectacle intitulé "André-Philippe Gagnon est un réseau social". Dès la levée du rideau sur un chantier balisé de cônes orange, on se rend compte que l’humour et la bonne humeur seront au rendez-vous. La majeure partie de la première moitié du spectacle est une version déridée des affaires et scandales liés à la construction et aux municipalités corrompues qui secouent l’actualité depuis de nombreux mois. La fin du numéro se termine, d’ailleurs, de façon spectaculaire avec une chute sur la scène de deux énormes blocs de béton accompagnée d’un effet sonore parfaitement réussi et admirablement bien synchronisé. Un autre bon moment qui m’a beaucoup plu lors de la seconde moitié du spectacle est l’histoire du Rock’n Roll racontée par Elvis Gratton. André-Philippe Gagnon excelle littéralement en passant, notamment, en quelques instants d’intervalle de la voix grave de Barry White à celle très haute des Bee Gees. Une performance équivalente sera atteinte avec son « aPad » où, instantanément, il change d’imitation sans aucune pause. Bref, ce spectacle d’André-Philippe Gagnon était tout à fait à la hauteur de mes espérances et des souvenirs que j’avais de lui quinze ans auparavant.

Site officiel d'André-Philippe Gagnon.


Passez 2013 avec une vue sur les Kootenays !

17 novembre 2012

 

Je pense que j’ai connu Douglas Noblet alors qu’il avait 16 ans. Il m’envoyait, alors, des photos d’hélicoptères Alouette et Lama pour mon site, photos qu’il avait prises à Paris et chez lui, à Nelson en Colombie-Britannique. Bien que doué dès le début, avec les années, son talent de photographe, tant pour les sujets aéronautiques que pour les photos de nature, n’a cessé de croître. Douglas est maintenant âgé de 21 ans et nul doute qu’il deviendra un photographe de renom dans le futur. Depuis quelques années, il a développé un très beau site Internet sous le nom de "Wild Air Photography". Pour 2013, il vous propose un magnifique calendrier ayant pour thème "les Kootenays vus du ciel (Kootenays From Above)" et qui est un recueil de ses plus belles images aériennes de ce massif montagneux situé à l’ouest des célèbres parcs nationaux de l’Alberta et de la Colombie-Britannique. Passez donc l’année 2013 en ayant une vue privilégiée sur la région des Kootenays !

Publicité pour le calendrier (PDF 4,30 Mo).

Pour commander votre calendrier.


10 000 visiteurs !

15 novembre 2012

En ce mardi 13 novembre 2012, le cap des 10000 visiteurs a été franchi sur ma galerie Zenfolio. Je constate aussi que le nombre de visites hebdomadaires est en croissance constante et j’en suis très heureux. Je tiens donc à remercier très sincèrement les fidèles visiteurs de ma galerie de photos. L’air de rien, voir le compteur grimper de façon régulière demeure très motivant pour moi. Par ailleurs, j’ai appris récemment que Fotopic ne sera pas réactivé par les repreneurs du serveur arrêté en 2011. Par contre, il est possible pour les anciens clients de récupérer leurs images. Plus d’informations ici.

Information précédente à ce sujet.


Couleurs d’automne au Parc régional

9 novembre 2012

 

Une météo fort clémente nous a permis cet automne de bénéficier de belles couleurs durant pratiquement un mois ce qui a dû ravir bon nombre de photographes. Pour ma part, du fait de nombreuses activités professionnelles, je n’ai pas pu en profiter pleinement, mais, malgré tout, j’ai eu l’occasion d’effectuer quelques promenades au Parc régional Michel-Chartrand à Longueuil. Maintenant que tous les arbres ont perdu leurs feuilles, je vous propose de voir les quelques photos que j’ai prises lors de ces randonnées.

Photos prises au Parc régional.

Information précédente au sujet du Parc régional.


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