SOMMAIRE

Du 20 juin au 22 juin 2025. Sur l’Île-du-Prince-Édouard, nous avons choisi de nous établir pour deux nuits à Cavendish pour deux raisons. Tout d’abord, pour les plages et falaises du Parc national et ensuite par ce qu’il s’agit d’une position centrale sur l’Île. Nous avons également découvert plusieurs bons restaurants dans le coin, un bon point supplémentaire qui n’est pas à dédaigner ! Inutile de préciser que le homard était au menu de tous nos repas !

Notre hôtel était un peu vétuste, mais propre et tellement plein de charme. Il était aussi situé à distance de marche du Parc national. Ce qui fait que les deux soirs où nous étions à Cavendish, nous avons pu assister à la lumière de fin de journée rehaussant les couleurs rouge et ocre des falaises et des plages. À noter aussi la (très bonne) décision du gouvernement fédéral de rendre l’accès gratuit à tous les parcs nationaux du Canada, ceci afin de favoriser le tourisme local. Un petit geste fort apprécié !

Le Parc national de l'Île-du-Prince-Édouard :

Vendredi 20 juin 2025. Nous quittons Miramichi en début de matinée afin de nous rendre sur l’Île-du-Prince-Édouard en descendant plein sud par l’autoroute No. 11. Puis, nous empruntons les autoroutes 15 et 16 pour rejoindre le pont de la Confédération.

Inauguré le 31 mai 1997 après quatre années de travaux, le pont de la Confédération est, en effet, le seul lien routier existant entre l’Île-du-Prince-Édouard et une autre province du Canada. Avec ses 12,9 kilomètres de route à deux voies, il a la particularité de pouvoir résister à la prise des glaces en hiver, ce qui en fait une réalisation du génie civil hors du commun.

Dépendant du gouvernement fédéral, sa traversée n’est évidemment pas gratuite. En fait, on ne paie qu’en quittant l’île. Nous avons ainsi déboursé 50,25 $ à notre retour vers le Nouveau-Brunswick le dimanche 22 juin. Mais, depuis le 1er août, le prix a baissé à 20 $ pour un véhicule à deux essieux, ceci afin de favoriser le tourisme interprovincial. Ce serait-on fait avoir ?

Après une dizaine de minutes pour traverser le pont, nous arrivons à Borden-Carleton où nous arrêtons pour prendre une petite pause à un site touristique connu sous le nom de "Marine Rail Park" ou des variantes de celui-ci.

Il est constitué d’un phare, d’un monument, d’une ancienne gare et d’un caboose ! Et de là, nous avons aussi une très belle vue sur le pont de la Confédération. Une fois la visite des lieux achevée, nous nous remettons en route vers Cavendish au centre de l’Île où nous allons passer deux nuits.

Le "Marine Rail Park" de Borden-Carleton :

Jeudi 19 juin 2025. Aujourd’hui, je ne le sais pas encore, mais ça va être une journée de plus de 400 kilomètres de route. En effet, l’idée est d’effectuer le tour de la péninsule acadienne à partir de Miramichi où nous logeons pour deux nuits. Et je n’ai fait aucune estimation préalable de la distance que nous allons parcourir …

Nous quittons, donc, Miramichi par la route No. 8 et le pont Centennial pour rejoindre Bathurst dont nous faisons rapidement le tour sans nous arrêter. Puis, nous commençons réellement notre découverte de la péninsule en empruntant les routes qui longent au plus près le littoral.

Tout au long de notre parcours, nous nous arrêterons lorsqu’il y aura la possibilité de prendre quelques photos intéressantes. Il faut dire aussi, qu’aujourd’hui, il y a une brume de mer qui peut donner un certain cachet aux prises de vues.

Le premier endroit où nous passons un peu plus de temps est le petit parc provincial de Pokeshaw. Celui-ci est tenu par quelques bénévoles qui entretiennent les lieux et est accessible à deux endroits pour la modique somme de deux dollars par personne (!) : sur une falaise où un stationnement et quelques commodités ont été aménagées et sur une plage d’où on peut admirer les falaises.

À partir des deux emplacements, on peut admirer le Rocher de Pokeshaw, une sorte "d’île muffin" habitée par une colonie de cormorans ainsi que quelques autres oiseaux de mer. Son aspect "fin du monde" est dû au fait d’un incendie qui y a eu lieu en 1994, probablement causé par le guano des volatiles … Et puis il y a aussi un "mini rocher percé" dans une des falaises.

Cette partie nord-ouest de la péninsule a principalement vu l’arrivée d’irlandais et d’écossais au 19ème Siècle, poussés notamment par la famine. Ils s’y sont installés et ont développé leur communauté. Dès que nous arrivons à Grande-Anse, nous pénétrons en territoire acadien. Nous nous arrêtons, bien entendu au centre touristique du phare de Grande-Anse.

À Anse-Bleue, c’est au petit port de pêche local que nous faisons une brève halte afin de prendre quelques photos. Puis nous passons par Caraquet et Saint-Simon pour rejoindre la route 113 afin de remonter vers l’extrémité nord-ouest de la péninsule et l’Île Miscou.

Nous aboutissons au site du phare de l’Île Miscou … Pas moyen d’aller plus loin, car c’est vraiment "le bout du bout". Bien entendu, à cet endroit, il y a le phare et une boutique de souvenirs, mais aussi de belles plages.

Non loin de là, sur le chemin du retour, il y a un sentier d’interprétation de la tourbière de Peat Bog. Il s’agit d’une passerelle en bois en forme de boucle qui permet d’admirer confortablement cette magnifique tourbière tout en étant entouré de quelques libellules.

Nous ferons encore un bref arrêt au port de Shippagan, histoire de photographier les bateaux de pêche entreposés hors de l’eau avant de remettre le cap vers Miramichi en longeant la côte est de la péninsule.

Ce périple d’une journée nous a permis de découvrir essentiellement les paysages de cette belle péninsule. Toutefois, il faudra un jour revenir afin de prendre le temps de s’imprégner des cultures des communautés acadiennes, écossaises et irlandaises qui y vivent, ceci sans oublier les Micmacs.

De Bathurst à Grande-Anse :

Le parc provincial de Pokeshaw :

Grande-Anse :

Anse-Bleue :

Le site du phare de l'Île Miscou :

Le sentier de la tourbière de Peat Bog :

Le port de Shippagan :

Mercredi 18 juin 2025. Ce matin, à Fredericton, la météo est maussade. Peut avant 10h00, Louise et moi, nous quittons notre gîte pour rejoindre Miramichi par la Route 8. 200 kilomètres d’une belle route, mais tellement monotone où principalement les églises et les cimetières se succèdent à intervalles réguliers le long de la chaussée !

Une fois arrivés sur place, plus précisément à Chatham, nous allons déposer nos affaires à notre hôtel et partons pour une petite marche sur un sentier longeant le fleuve Miramichi. Mais le vent et une petite bruine intermittente nous motivent à ne pas poursuivre notre balade trop loin … Nous retournons donc nous reposer à l’hôtel non sans avoir parcouru la petite rue commerçante et touristique du patelin.

Découverte de Chatham :

Mardi 17 juin 2025. Un aspect important de notre voyage au Nouveau-Brunswick est de visiter la partie acadienne de la province. Nous avons choisi Miramichi où nous allons rester deux nuits. Mais pour nous rendre jusque-là depuis Saint John, nous devons passer par la capitale de la province, Fredericton, où nous arrêterons pour une nuit, histoire de la découvrir quelque peu.

Arrivés, donc, à Fredericton vers 11h00, le gîte que nous avons choisi n’est pas prêt de nous accueillir avant 15h00. Nous y laissons donc notre voiture ainsi que nos bagages et nous partons à pied vers le centre-ville.

Pour nous y rendre, nous empruntons un sentier longeant la berge sud du fleuve Saint-Jean. Par endroits, ses abords sont occupés par des groupes d’itinérants qui, comme partout, n’ont aucun soucis à laisser traîner leurs ordures aux alentours … De temps à autre, aussi, on peut sentir des effluves de pot (merci Justin d’avoir libéralisé le cannabis … Ceci a visiblement arrangé beaucoup de choses !)

Une fois arrivés dans le quartier de la garnison, nous empruntons la passerelle du 104e Régiment d’infanterie pour rejoindre la rue Queen où, Louise ayant une grande envie de sushis, nous allons prendre le repas de midi dans un très bon restaurant japonais.

Fredericton est une petite ville sans aucun gratte-ciel ou bâtiment élevé. L’ambiance y est donc beaucoup plus décontractée que dans d’autres capitales provinciales. Dès que l’on s’éloigne à peine du centre-ville, les maisons sont coquettes, qu’elles soient modestes ou plus imposantes. Souvent, leur devanture est ornée de bosquets de fleurs et de plantes. Il est donc fort agréable de se balader à Fredericton.

Vers 14h30, par le même sentier longeant le fleuve, nous rejoignons notre gîte et lorsque nous arrivons, un homme chante et joue tout seul avec une guitare à 12 cordes sur une sorte de terrasse aménagée à l’arrière du bâtiment. Visiblement, ce n’est pas un débutant ! Nous allons nous assoir près de lui et l’écoutons durant encore une bonne heure. Un peu plus tard, sa conjointe, nous rejoint également.

Son nom est Robert Goldie et tout le répertoire classique y passe : Simon & Garfunkel, U2, Neil Diamond, John Denver, Roy Orbison, The Rightnous Brothers et j’en passe. Pour terminer, il nous propose aussi quelques chansons de sa composition. Nous n’avons pas vu le temps passer … Clairement, comme on dit, il "a fait notre journée". Voyant que nous avons apprécié sa prestation, il nous donne son CD "Whisper in a Dream", recueil de ses compostions.

Le soir, nous allons souper dans un restaurant voisin et le homard est à l’honneur dans notre sélection de plats. La nuit, il se met à pleuvoir et c’est encore le cas lorsque nous quittons Fredericton pour Miramichi le lendemain matin.

Balade à Fredericton :

Lundi 16 juin 2025. Notre point de départ et d’arrivée de notre périple dans les Maritimes est Saint John pour le simple fait que cette ville est desservie par la compagnie Pascan Aviation au départ de l’aéroport de Saint-Hubert situé à cinq minutes en voiture de notre domicile, ce qui est bien pratique.

Notre hôtel se situe sur une espèce de "boulevard Tascherau" dans la partie ouest de Saint John, ceci afin de pouvoir facilement partir vers notre seconde étape à Fredericton le lendemain matin. Arrivés de l’aéroport vers 13h00, nous commençons par aller prendre un lunch dans le Taco Bell local, une chaîne de restauration rapide style mexicain que Louise n’avait encore jamais fréquentée, car on n’en trouve pas vraiment au Québec.

Une des principales attractions touristiques de cette partie de Saint John est le Lieu historique national du Canada de la Tour-Martello-de-Carleton. Nous nous y rendons, car il se situe tout près de l’hôtel. Mais une fois sur place, force est de constater que la tour est complètement en emballée et ceinturée d’un échafaudage en vue de sa restauration. Déception, donc …

Nous restons toutefois dans les environs afin de prendre quelques photos de l’église catholique de Notre-Dame-de-l’Assomption ainsi que de quelques belles maisons du rang Dufferin.

Puis nous nous rendons près du pont des Chutes réversibles où une promenade constituée d’escaliers permet d’approcher le fleuve Saint-Jean. Tout en bas, au point d’observation, plusieurs personnes admirent les lieux et ce n’est pas long que la conversation débute. Ainsi, il y a un couple venu de Gatineau, deux "locaux" et un autre couple originaire d’Edmonton dont le mari est pilote. Et devinez-quoi, j’ai une bonne jasette d’aviation avec lui !

Puis nous faisons encore un détour devant la grande brasserie Moosehead où je prends quelques photos à défaut d’aller goûter quelques variétés de bières produites à cet endroit … Entre boire et conduire, il faut choisir ! Et c’est ainsi que ce conclut notre après-midi à Saint John.

Après-midi à Saint John Ouest :

Louise et moi avons décidé pour nos vacances d’effectuer un tour au Nouveau-Brunswick et à l’Île-du-Prince-Édouard, deux provinces où je n’ai encore jamais mis les pieds (mais Louise oui !) Les dates retenues étaient du 16 juin 2025 au 25 juin 2025, mais notre transporteur aérien, Pascan, a annulé son vol de retour et nous a replacé sur celui du 27 juin 2025. Je parle, bien entendu, de tout l’aspect aviation sur mon blogue aéronautique.

Mais qui dit road trip dit aussi voiture … Or, ceux qui me connaissent, savent que je n’aime pas conduire, particulièrement au Québec où la majorité des conducteurs sont totalement indisciplinés lorsqu’il s'agit du respect du code de la route. Donc, comment vais-je pouvoir effectuer un road trip de presque deux semaines ?

Première étape : la location de la voiture. Lorsque j’ai effectué la réservation, j’ai constaté qu’un petit VUS coûtait le même prix qu’une voiture compact. Un VUS … Ça va un peu à l’encontre de mes convictions, mais c’est l’argent qui mène le monde, non ? J’ai donc réservé le VUS, et nous ne l’avons pas regretté du tout !

En effet, notre VUS était un Chevrolet Equinox et ce véhicule nous a surpris à plus d’un titre … Tout d’abord, en ce qui concerne la consommation en carburant, j'ai réussi à la descendre à 7,9 litres au 100 kilomètres et même à 7,8 durant un bref moment. Ceci est inférieur à notre Honda Civic 2025 ! Ensuite, le confort … Encore une fois, celui-ci était supérieur à notre Civic où on a l’impression de rouler avec les fesses qui frottent l’asphalte. Enfin, il était équipé d’un GPS, ce qui n’est pas le cas de la Civic. De quoi faire éventuellement me faire douter de l’achat de cette Civic !

En ce qui concerne les routes, celles-ci au Nouveau-Brunswick sont en général excellentes, en tous cas pour les voies principales. Rouler sur l’autoroute No. 1 est, par exemple, absolument un charme. Nous avons aussi observé de nombreux chantiers d’asphaltage qui permettent de maintenir le réseau routier en bon état. Donc, rien à voir avec les abominables routes du Québec truffées de nids de poules (parfois d'autruches !) Et les routes secondaires sont également souvent belles à quelques exceptions près.

Mais ce que j’ai le plus apprécié, c’est la circulation peu dense ce qui rend les déplacements très agréables. Même à Fredericton, Saint John et Moncton, à n’importe quelle heure, la circulation est demeurée fluide.

À l’Île-du-Prince-Édouard, les routes sont à peine un peu moins bonnes, mais bien meilleures, encore une fois, qu’au Québec. La circulation est également un peu plus dense, mais y rouler demeure malgré tout bien moins stressant que dans la Belle Province.

Et puis, il y a les paysages … Ils sont magnifiques, surtout le long des côtes. Particularité : le nombre d’églises de différentes obédiences et de cimetières qui y sont associés. On peut parfois voir trois églises en ligne dans un seul petit village !

Question météo, nous avons bénéficié de bonnes conditions tout au long de notre séjour. Ainsi, nous avons subi seulement une demie journée de pluie. Et sur le plan culinaire, il est évident qu’il y avait du homard et des fruits de mer au menu quasi à chaque jour. En fait, je me rends compte que je n’ai pas mangé le moindre morceau de viande rouge en deux semaines !

Au bout du compte, nous aurons roulé exactement 2.364 kilomètres, soit ce que j’effectue d’ordinaire en six mois ! Et je dois avouer que, finalement, conduire dans les Maritimes n’a pas été désagréable ou stressant. Dans les jours qui suivent, je vous parlerai un peu plus en détails des étapes de notre périple.

Mardi 10 juin 2025. Arrivés au terme de notre séjour professionnel sur l’Île de Vancouver l’administration de l’ÉNA nous a trouvé un hôtel bien situé où passer la nuit afin de pouvoir prendre notre avion de retour sans stress le lendemain matin. En effet, celui-ci se trouve entre l’aéroport de Nanaimo et le centre-ville de Ladysmith.

Le soir, nous allons souper sur la 1e Avenue. Nous découvrons ainsi une petite ville bien sympathique et charmante située en hauteur de la Route Transcanadienne No. 1. D’ailleurs, la rue Roberts, qui est perpendiculaire à la 1e Avenue, a un petit air de San Francisco !

Particularité, elle est située exactement sur le 49e parallèle nord. C’est aussi à Ladysmith qu’a vécu Pamela Anderson dans sa jeunesse et où, semblerait-il, elle réside officiellement depuis 2019. En tous cas, nous, nous ne l’avons pas croisée !

Ladysmith est donc une petite localité méconnue à côté de laquelle on passe sans s’arrêter lorsque l’on emprunte la Route Transcanadienne (ce qui m’est déjà arrivé deux fois l’an dernier !) Or, elle mérite qu’on la découvre le temps d’une pause dans un de ses restaurants ou au cours d’une petite promenade devant ses quelques belles boutiques.

Petit tour en ville :

La ville de Port Alberni est située en plein centre de l’Île de Vancouver en Colombie-Britannique. Du 1er au 9 juin derniers, avec un collègue professeur de l’École nationale d’aérotechnique, nous y avons séjourné dans le cadre d’un stage réalisé au sein de l’entreprise Coulson Aviation spécialisée dans la modification et l’opération d’aéronefs lourds utilisés dans la lutte contre les incendies de forêts. Bien entendu, je vous parle de l’aspect aviation de tout ceci dans mon blogue aéronautique.

Nous logions dans un hôtel situé en ville et, une fois nos huit heures de travail effectuées à l’aéroport, nous allions nous trouver un restaurant dans les environs où passer un moment plus calme et plus reposant.

À deux reprises également, nous avons été effectuer une promenade digestive au port de la localité. J’ai noté que, mis à part la route principale bordée de nombreux commerces et grandes surfaces, le reste de la ville est assez calme, même quasiment désert à certains endroits. J’imagine que, durant l’été, les visiteurs et touristes doivent créer une certaine animation rendant le centre-ville un peu plus vivant.

Lorsqu’on se rend à Port Alberni depuis Namaimo par la route No. 4, au fur et à mesure que l’on progresse au travers des montagnes vers l’est, il y a certains endroits qui pourraient nous faire penser que nous sommes en Suisse.

D’ailleurs, tout juste avant d’arriver à Port Alberni, la route longe le lac Cameron se trouvant au fond de la vallée bordée par les monts Arrowsmith et Wesley. Celui-ci n’est pas sans rappeler les nombreux lacs alpins en Europe.

Comme je l’ai mentionné, nous étions venus à Port Alberni dans le cadre de notre travail. Donc, chaque matin, nous nous rendions à l’aéroport situé en pleine nature à une dizaine de kilomètres au nord-est de la ville.

Et à chaque matin, en roulant sur la route de l’aéroport, nous nous émerveillions sans nous lasser de la beauté du paysage montagneux des alentours. Quelle comparaison avec la route de l’aéroport à Saint-Hubert !

Atmosphère et ambiance de Port Alberni :

Balades dans le port :

Voilà une idée dans l’ère du temps, n’est ce pas ? … Et ça fait deux ans maintenant que j’y pense pour la devanture de notre maison qui est déjà, en quelque sorte, un jardin de biodiversité, mais absolument hors de contrôle où les mauvaises herbes et les pissenlits règnent en maîtres absolus !

Afin de trouver l’inspiration, cet après-midi, j’ai été me promener dans le quartier afin de voir s’il n’y aurait pas quelques jardins qui pourraient faire germer l’une ou l’autre idée intéressante pour chez nous. J’ai donc pris mon petit Lumix et voici le résultat en images de ce que j’ai pu découvrir à proximité.

Quelques idées inspirantes :